Merci du fond du coeur pour vos témoignages chaleureux:
Merci énormément pour ton concours et ta patience lors de notre discussion . Je sens les choses bouger en moi. Je commence juste à ressentir, seulement par épisodes (mais c’est un début), la douce quiétude du vécu quand je baisse les armes et arrête la guerre pour commencer à accepter.
Merci encore de me permettre ces moments de partage.
Gérard Tossen
Aurélie Bruyère
Voici quelques jours que tu m’as apporté de nouveau ton soutien par un doux message de bienveillance et je voulais simplement te remercier… Alors, merci chère Anissa, merci du fond du coeur. Marie et moi sommes ravis du stage et nous en sommes rentrés gonflés d’espoir, d’amour et de bien-être… Aujourd’hui, nous continuons le chemin, en ayant retrouvé le sourire. Reçois notre gratitude et notre amour, Ange merveilleux !
Que la paix et l’amour t’accompagnent Anissa.
JanFi
Je suis tombée il y a quelques instants sur votre photo. Votre regard, votre sourire. J’en suis encore chamboulée… J’ai eu cette sensation que vous étiez là, dans la pièce avec moi. Vous m’avez donné tellement d’amour là, d’un coup, que j’ai eu l’impression que vous ouvriez une vanne, et mes larmes ont coulé. Alors que je vous écris elles coulent encore… Une chose est sûre, vous m’avez aidée à laisser circuler quelque chose, rien qu’avec votre regard, votre sourire. Si la vie me fait une deuxième fois la surprise de vous croiser, j’espère que ce coup-ci ce sera en vrai.
Merci Anissa!
Nathalie Buttigieg
OK !Si “c’est comme ça” on va faire avec, et se soigner. Consultations, traitements, examens, échographie (Oups ! )…et toujours un peu mal. Même si c’est rassurant d’être dans la norme, c’est vraiment pénible. La médecine constate, prescrit de la poudre de Perlimpinpin, prunier, courge…et attend ! Et un beau jour “Ça suffit ! ” Voyons si il n’y a pas un moyen de décoder autrement ce message corporel. Justement sur le net je tombe sur une dame douce qui parle de décoder les “Tamalous”, c’est même sa spécialité. Et me voilà en Ariège en train de raconter à une dame mes soucis masculins et aussi mes problèmes de peau sur le visage:
“- C’est important pour toi l’image que tu donnes à voir aux autres?
– Euh…ben oui…!
– Donc tu contrôles, tu as une exigence forte envers toi…?
– ……
– Et tu crois pas qu’avec tout ce que tu as vécu, avec ce que tu es aujourd’hui tu pourrais te faire confiance, lâcher tout contrôle et juste t’aimer, avoir de la tendresse pour toi!?”
Et là STOP :Chaudes larmes et changement de salle de cinéma : Finie “La guerre des étoiles” et bonjour “La vie est belle”! Je n’avais jamais imaginé que mon père pouvait être tendre, c’était juste un monstre sacré. Il a sans doute essayé d’être tendre et drôle, mais nous étions trop verrouillés dans nos personnages. En tout cas aujourd’hui je suis libre de me les offrir cette tendresse et cette confiance. 6 mois plus tard, je constate que la fin du contrôle permanent sur moi même a engendré la fin de l’exigence envers les autres et permis l’accueil de mes proches tels qu’ils sont et tel que je suis, la simplicité et la fluidité des relations. Ca fait maintenant 2 mois que j’ai cessé tout traitement pour la prostate, plus aucune douleur et une manière d’aimer plus douce, sans pression.
MERCI Anissa 🙂 avec une bienveillance fraternelle.
Jean Pierre
Tu m’avais confirmé que mon ancrage était inexistant faute de lien avec ma mère. Il m’est arrivé une amusante synchronicité lorsque je suis rentrée du stage : j’ai repris un roman que j’avais laissé depuis 15 jours et la page que j’ai repris retraçait l’histoire d’une mère qui recevait une lettre de son fils de 16 ans qui avait quitté la maison car il ne supportait plus que sa mère décide pour lui de ses études, cette lettre aurait pu être celle que j’aurais dû faire à ma mère pour m’éviter tant d’années de rancœur.
A la suite de cette lecture j’ai appelé ma mère pour lui expliquer que je n’avais jamais fait le métier que j’aurais aimé mais que ce n’était pas de sa faute car j’étais libre ensuite de changer de métier mais je n’ai pas eu le courage ; ça m’a soulagée !
Je vais continuer à travailler sur mon ancrage et suivre mes intuitions, tu m’as redonné l’envie de sortir de ma coquille et je t’en suis reconnaissante !
Bien amicalement.
(la grande plante verte qui manque de racines 🙂 )